J-P Doux : “Mon club de coeur”

     

    Interviewé par foot-sur7.fr, Jean-Philippe Doux confirme que son club de cœur est bel et bien Bordeaux. Il revient sur ses années passées à GirondinsTV, ainsi que la suite de sa carrière, toujours sur M6, mais dans 100% Mag. “Je suis toujours les Girondins de Bordeaux. Avec Nancy qui est le club de mon enfance, Bordeaux est mon club de cœur. J’y ai vécu tellement de bons moments, et d’émotions fortes, avec les joueurs et le staff de ces deux époques (2005-06 et 2008-09), mais aussi avec tous les employés du Haillan et les bénévoles. Quand Bordeaux va moins bien, je pense justement à tous ceux qui travaillent et vivent pour le club, et je devine leur tristesse. Quand, en revanche, les Marines et Blancs emportent des victoires et des titres, je rêverais d’être avec eux pour partager leur joie. J’ai un souvenir très précis du soir à Caen en 2009, quand nous sommes devenus champions, et cette grande fête le lendemain place des Quinconces… Cette saison, mon cœur de supporter souffre un peu, mais je fais totalement confiance à Francis Gillot et à ses joueurs pour faire une deuxième partie de feu ! Déjà, là, on est remontés dans la première partie de tableau, et tout peut aller très vite, les victoires peuvent entraîner les victoires. Ils ont du talent, il leur manque parfois la confiance, et des petits détails qui font pencher la balance du mauvais côté…”

     

    A la question ‘Le football ne vous manque-t-il pas ?’ Jean-Philippe répond par l’affirmative :  “Si, clairement : ça a été mon quotidien de 2005 à 2009 : 2 saisons en immersions au Haillan, 2 saisons de 100% Foot (rédacteur-en-chef) avec Estelle Denis et les garçons, une coupe du Monde et un Euro avec les Bleus… Ça marque. Mais ma carrière est partie sur autre chose avec 100% Mag, même si je place des images de foot dès que je le peux. J’étais aussi très heureux de pouvoir y annoncer le lancement de la ligne de vêtements de Marius Trésor. Et puis, malheureusement, j’ai dû reprendre de façon brutale en 2012 pour commenter un match de l’Euro en Ukraine (Suède-Angleterre) en remplacement de Thierry Roland. J’ai aussi l’occasion, de temps en temps, de reprendre le rôle d’homme de terrain en Europa League. Et, c’est marrant, mais l’odeur de la pelouse humide des soirs de match est devenu une de mes madeleines de Proust qui me replonge aussitôt, quel que soit le terrain, dans mon expérience aux Girondins !”

     

    L’interview complète ICI