Jean-Pierre Bernes, qui s’occupe des intérêts de Jocelyn Gourvennec, s’occupait aussi des intérêts de Laurent Blanc lors de son arrivée aux Girondins. Est-ce que l’ancien entraîneur de Guingamp imposera des choses comme l’actuel entraîneur du PSG ? : “En règle générale, moi je dis les choses. Si j’ai des choses à dire à mon président et à Monsieur De Tavernost, je les dirais. Mais c’est du travail en interne ça, vous ne voyez pas les gens dans les entreprises qui communiquent sur toutes les décisions stratégiques. On connaît les résultats et on communique là-dessus, ça fait partie de l’image générale du club mais pour ce qui est de la stratégie, des moyens mis en place, on va évidemment en parler entre nous. Je pense que je suis quelqu’un d’assez franc, je dis tout ce qu’il se passe à mon président, il n’y a rien à cacher, les choses positives et négatives dans la vie d’un groupe et un groupe ça vit énormément tout au long de l’année. Il faut dire les choses mais après vous ne m’entendrez pas réclamer si ou ça, ou me plaindre de quoi que ce soit. Bon après c’est mon premier jour… Je serai comme tous les entraîneurs très sollicité dans les avant-matches et les après-matches lors des conférences de presse mais ce que j’aurais à dire, je le garderai pour l’interne”.

 

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