Ancien coach de Lukas Lerager à Zulte-Waregem, Francky Dury s’est exprimé sur son ancien joueur dans les colonnes de l’Equipe. “C’est un top boy. Il a tout pour réussir : la mentalité, la qualité physique, l’intelligence de jeu… Le reste c’est de la confiance. Si Bordeaux fait une bonne saison, il va continuer à se développer. Sinon, ce sera plus compliqué […] Il peut jouer en sentinelle, mais je le préfère en tant que numéro 8. C’est quelqu’un qui travaille et qui court beaucoup pour son équipe. Si vous regardez ses données physiques, il a une VO2 max de 70. Concrètement, ça veut dire que lorsqu’il est fatigué, tous les autres sont morts. Lui, ça ne le dérange pas de courir trois minutes sous pression. Et s’il donne une mauvaise passe, il va tout de suite la récupérer. Il est très important dans les phases de transition”.

 

A ce sujet-là, le président Stéphane Martin a dévoilé une anecdote au quotidien français, lors d’un échange entre lui même et un concourent direct au milieu de terrain à Lukas Lerager, l’argentin Valentin Vada. “Mais il n’est pas venu pour se plaindre. La seule fois où on a abordé le sujet, c’est parce que je lui avais dis sur le ton de la rigolade qu’il était ‘affûté’. Il m’avait répondu qu’il avait intérêt, vu la concurrence”.