Bordeaux a encaissé le match nul dans les ultimes secondes face à Marseille, sur une rencontre que l’on qualifiera de regrettable. La faute à quelques décisions arbitrales un peu douteuses, comme le souligne le consultant Marius Trésor. “On dit qu’il y a faute quand le joueur qui commet l’irrégularité ne touche pas le ballon. À aucun moment Adil Rami ne touche le ballon. Il touche la jambe de Sankharé. Tout le monde s’arrête et on se demande comment Mr Millot ne siffle pas le pénalty. Bordeaux mène 1-0, il y a pénalty, même si ça fait 2-0… On dit que c’est peut-être pour l’intérêt du match. Il y a faute donc on siffle un point c’est tout. C’est terrible parce que l’action qui amène l’égalisation marseillaise, au départ de l’action il y a une faute sur Malcom qu’il ne siffle pas. Ensuite quand Théo Pellenard récupère le ballon, il y va avec virilité mais il prend le ballon. À partir de là, il siffle faute et sur cette faute tu prends le but. Et il y a eu 4 cartons jaunes pour Bordeaux et 2 pour Marseille. On se demande comment… Enfin bref. C’est quand même Bordeaux qui se retrouve dans la mauvaise situation car pour le match de Saint-Etienne, tu vas être privé de deux attaquants. Kamano, qui sur sa faute il n’y a absolument rien à dire, et De Préville. Tu vas donc te retrouver avec deux garçons en moins. J’espère que ceux qui sont appelés à les remplacer se montreront à la hauteur”.

 

A ce sujet-là, l’ancien défenseur central bordelais s’est aussi remémoré des erreurs d’arbitrages en défaveur des Girondins, notamment face à Paris. “Je vais revenir sur le match de Paris, où on dit que l’ampleur du score a fait que, mais on se rappelle qu’à 2-0 pour Paris, cette main de Kimpembé dans la surface tout le monde la voit sauf l’arbitre. Sur le contre, tu prends un troisième but. Et pour enfoncer le clou, il te siffle la main d’Otavio pour faire 4-1… Si tu transformes le pénalty, tu reviens à 2-1 et il se peut que tu ne vois pas le même match”.

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