Nicolas De Préville : « Je ne suis pas quelqu’un qui parle beaucoup de mes problèmes quand je suis malheureux »
Sur quoi on peut s’appuyer quand on traverse une période aussi difficile que celle de Nicolas De Préville depuis son arrivée aux Girondins ? Voici tout simplement la réponse du principal intéressé. « La famille aide, c’est sûr. Mais je ne suis pas quelqu’un qui parle beaucoup de mes problèmes quand je suis malheureux. Quand il y a des périodes comme ça, et ça m’est déjà arrivé dans le passé, je me réfugie dans le travail et je continue à travailler, travailler, travailler… Être irréprochable et professionnel […] Parfois, ce n’est pas facile parce qu’on a l’impression que peu importe ce qu’on va faire à l’entrainement, ça ne changera rien parce que le coach a une idée arrêtée. Malgré ça, il faut continuer à travailler parce que mine de rien, on est quand même payé pour ça. Il faut continuer de travailler, on se doit d’être irréprochable pour le club, d’avoir la bonne attitude. Tous les matins, c’était un plaisir de venir m’entrainer, c’est mon métier, ma passion, je kiffe ça… Et même si c’était une période un peu négative pour moi sur le plan sportif parce que je n’avais pas de temps de jeu. Mais je m’entrainais au foot tous les jours et de ce côté-là c’était un plaisir. Après, on s’accroche, même si c’est sûr que quand on rentre à la maison ce n’est pas forcément simple ».