Les Girondins négocient bien des baisses de salaires ponctuelles ou durables en plus du chômage partiel ou de l’accord avec l’UNFP

    Dans L’Equipe du jour, nous avons la confirmation qu’aux Girondins de Bordeaux, les dirigeants ont engagé des discussions pour réclamer à leurs joueurs des effets ponctuels ou plus durables pour résister à la crise. Il s’agit bien d’efforts demandés en plus du chômage partiel ou de l’accord négocié avec l’UNFP qui, pour rappel, prévoit un report des salaires lors de la suspension des compétitions. Les clubs cités par le quotidien national sont donc les Girondins de Bordeaux, Lyon, Marseille, Monaco, Saint-Etienne et Paris.