Deux solutions pour passer la crise économique : l’avance sur facture pour les transferts et… King Street

    Pour passer cette crise économique, les efforts sur les salaires et notamment le chômage partiel ne suffira pas (on parle d’une perte de 30M€ d’ici septembre). Comme évoqué précédemment, il existe l’option de vendre les créances sur les transferts, ce qui permettrait de faire rentrer l’argent immédiatement. « Cela permettra de rentrer l’argent tout de suite » comme pour les transferts de Jules Koundé ou Aurélien Tchouaméni. Il s’agit d’une « très bonne solution à court terme mais sur deux-trois ans, cela signifie aussi abandonner des commissions », a précisé un dirigeant à L’Equipe.

    La seconde solution est King Street, et sa capacité à remettre au pot. Ceci sera un véritable révélateur de ce que veut faire le fonds d’investissement des Girondins de Bordeaux. Mais, rappelez-vous, Frédéric Longuépée n’a eu de cesse de marteler que KS était bel et bien présent et assumerait son rôle. Avant, dans sa dernière newsletter, de mettre le doute : « Mais le développement économique du club ne peut pas être uniquement dépendant des moyens mis par l’actionnaire ».

    Nous serons rapidement fixés.