« Sur 90 minutes, quand vous jouez les 30 premières crispés comme on l’a été, nerveux, il faut un laps de temps pour adapter une nouvelle formule, et que le jeu retrouve ses qualités. Aujourd’hui, on n’a joué qu’une heure, donc ça a été un peu plus long. Les changements ? Quand vous sentez que votre équipe n’est pas dans le timing, manque de confiance, de technique, il vous faut changer quelque chose. Souvent, on nous reproche de trop tarder. Je pense que le carton jaune d’Otávio m’a fait changer de suite. Il n’était pas dans un bon jouer, ça se sentait, on n’avait pas de fluidité dans le jeu. Donc Nîmes arrivait à nous harceler et nous obligeait à dégager. Quand on a les joueurs comme on a devant, il ne faut pas que le ballon soit en l’air, il faut qu’il soit à terre. Et comme on n’arrivait pas à la sortir, il fallait changer quelque chose ».