Gérard Lopez : “Si je suis prêt à revoir ça si la DNCG le demande ? Ce qui est sûr c’est qu’on ne veut pas que le club disparaisse, donc bien sûr qu’on reverra ça”

    Gérard Lopez a évoqué, ce qui s’st révélé être une demande après coup de la DNCG, celle d’avoir du cash sur le compte plutôt qu’une ligne de 14 millions d’euros tirable. Pour lui, l’obligation d’avoir du cash n’est pas censée exister.

    « Il est acquis que la DNCG demande d’avoir recours soit à du cash, soit un financement automatique, chose que nous on a. Il n’est pas acquis que tous les clubs aient le cash sur leurs comptes, pas du tout même. Si je suis prêt à revoir ça si la DNCG le demande ? Ce qui est sûr c’est qu’on ne veut pas que le club disparaisse, donc bien sûr qu’on reverra ça, mais encore faut-il avoir les motivations de la DNCG (reçues finalement un peu plus de 48 heures après le verdict, ndlr), et encore faut-il qu’elles soient dans la lignée d’un truc logique. Si par exemple la motivation était que la ligne de crédit, telle quelle, ne soit pas acceptable pour une raison, on travaillera là-dessus ».

    Avait-il ressenti lors de l’audience, qu’il y aurait des points sur lesquels la DNCG serait intransigeante ?

    « Si j’ai senti lors de l’audience qu’il y avait des points compliqués ? Sur le contenu, les échanges ont été cordiaux. Après, ils sont assujettis à la confidentialité. Mais à aucun moment on n’a pu mettre en doute les éléments. Si on venait à mettre en doute un contrat écrit entre deux parties sous la loi française, c’est la porte ouverte à toutes les fenêtres. Ce serait un drôle de pays si jamais ce genre de contrat n’était pas acceptable ».

    Retranscription Girondins4Ever