Gérard Lopez : “On n’est pas le premier club, ni le dernier club, à virer un entraineur”

    (Photo by Philippe Lecoeur/FEP/Icon Sport)

    Sur RMC, Gérard Lopez a tout de même un peu (trop peu) parlé sportif. Il fut une nouvelle fois questionné sur le cas Benoit Costil. Comme la fois précédente, il refusa d’en dire plus, considérant que le travail avait été fait en interne.

    « C’est un sujet sur lequel j’ai déjà dit, à plusieurs reprises, que je n’en parlerai pas en antenne, ou en ON. Parce que je n’ai pas envie d’en parler, c’est tout. La question a été réglée en interne. Je n’ai pas besoin d’en parler en externe, c’est tout […] Dans mon tweet après le match, j’ai dit que je comprenais les supporters sur le résultat, oui, mais comment voulez-vous ne pas être écœuré d’un match pareil ?! C’est ce dont j’ai parlé, je n’ai pas parlé d’autre chose. Il n’y a pas de stratégie avec les supporters”.

    Quant au sportif, évidemment, il “est mauvais, et il y a pas mal de raisons pour cela”, notamment, à la genèse, car “c’était un mercato qui a été bloqué, il y avait un blocage sur la passe salariale, sur les transferts…”. 

    Et Vladimir Petkovic ? Une erreur aujourd’hui assumée.

    « C’est un entraineur avec lequel on a discuté, et on s’est trompés en termes de résultats. C’était quelqu’un qui venait avec une idée en tête, celle de gérer des jeunes, d’accepter d’être avec des jeunes. Bon, ça ne s’est pas bien passé. Je pense qu’on n’est pas le premier club, ni le dernier club, à virer un entraineur ».

    Retranscription Girondins4Ever