Dans Le Parisien aujourd’hui, Gérard Lopez s’est exprimé sur divers sujets, à commencer par l’ambiance au sein du groupe professionnel des Girondins de Bordeaux. Le groupe va encore évoluer, et il faudra attendre que le FCGB soit maintenu en Ligue 2. Cependant, l’ambiance au sein de celui-ci n’a rien à avoir avec le groupe de l’année dernière selon Gérard Lopez.

“C’est peut-être la seule bonne nouvelle : il y a une ambiance incroyable. C’est souvent comme ça : face à une pression extérieure, un ennemi commun, ça ressoude les rangs. On n’a plus les joueurs d’expérience qui ont failli l’an passé, il y a une ambiance bien plus positive dans le vestiaire, et puis il y a cette envie de revanche contre un système qu’ils trouvent complètement fou. La préparation physique se passe très bien. Quoi qu’il arrive il y aura un retard. Des joueurs ne vont pas rester, d’autres vont arriver. Ce n’est pas l’idéal. Mais la base, le tronc commun, est meilleure que celle qu’on a récupérée l’an passé”.

Le Président/Propriétaire du club s’est très peu exprimé sur la section féminine, mais aussi parce qu’il a très peu été questionné sur celle-ci, chose qu’a faite Le Parisien.

“Si son avenir dépend du club ? Oui. C’est triste car c’est une des belles choses des Girondins. J’ai entendu partout que Lopez ne s’intéressait pas aux féminines. On a le 3e budget de D1, quand même. S’il y avait une injustice commise et que les féminines en souffraient de la même manière que le reste du club, ça serait tout aussi catastrophique. Je les ai vues plusieurs fois l’an passé, à chaque fois j’ai souligné que c’était l’une des rares fiertés du club. Ça serait une injustice en plus”.

🗣 INTERVIEW. Toujours droit dans les bottes de son modèle, @gerard_lopez_ maintient l’injustice de la décision de la DNCG d’appel et pointe des « erreurs de droit fondamentales » dans le traitement du dossier des Girondins.

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— Alexandre Aflalo (@aflaalex) July 15, 2022