Gérard Lopez : “Moi, le stress, je peux l’encaisser, et pour ceux qui me connaissent cela ne me pose aucun problème. Par contre, je n’ai pas envie que le club et les employés aient à encaisser ce stress-là”

    Gérard Lopez a été invité à donner l’origine des “forces contraires” qui l’amènent aujourd’hui à ce niveau de démarches aux Girondins de Bordeaux. Le Président et Propriétaire du Club a voulu modérer ses propos, pour ne pas non plus extrapoler, et a confirmé que les erreurs commises par la DNCG n’étaient en rien subjectives, mais parfaitement réelles.

    « On n’est pas du tout dans du subjectif. Ce n’est pas nous qui avons écrit à Madame la Ministre, ou à la Fédération, ce sont les conciliateurs nommés par le tribunal de commerce, qui engagent leur responsabilité civile sur toutes les décisions qu’ils prennent. Ce n’est pas nous qui demandons au conciliateur de faire quoi que ce soit, on n’en a même pas le droit. C’est le conciliateur qui gère la conciliation, qui dit qu’à un moment donné, parce qu’on lui a demandé de concilier, et qu’il ne peut plus concilier, car il y a une décision qui ne correspond pas du tout à des fondements de droit basique. Le club n’a rien à voir avec cette lettre-là. Là, on n’est pas du tout dans du subjectif, mais de l’objectif, et plus que ça puisqu’on est devant un tribunal de commerce, devant un procureur et devant un conciliateur ».

    Gérard Lopez ne répond donc pas aux origines des “forces contraires” comme décrit par le journaliste en conférence de presse, afin de protéger tout le monde, et notamment le club et les salariés.

    « Quelle que soit la réponse que je vous donne maintenant, elle sera mal interprétée, je serai jugé, elle ne fera à mon avis que créer encore plus de confusion, de stress, etc… Alors que moi, le stress, je peux l’encaisser, et pour ceux qui me connaissent cela ne me pose aucun problème. Par contre, je n’ai pas envie que le club que je préside, et les employés que je dois protéger, aient à encaisser ce stress-là. Donc je ne vais pas répondre à votre question parce que d’abord je ne connais pas la réponse, et même si je pouvais avoir un avis, cet avis-là serait automatiquement jugé. A partir de là, qu’on me juge moi, ça ne me pose aucun problème, mais qu’on juge les Girondins de Bordeaux d’une façon inacceptable, je ne peux pas l’accepter. Je ne vais pas rajouter de l’eau au moulin. J’ai à protéger un club et des employés ».

    Retranscription Girondins4Ever