Grégory Paisley se rappelle le trou dans le quadriceps d’Okocha, le “psycho” Furlan, et le plus fêtard Diawara

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    Dans L’Equipe et Parole d’Ex, l’ancien défenseur, du Paris Saint-Germain, entre autres, Grégory Paisley, s’est remémoré le but de Jay-Jay Okocha face aux Girondins de Bordeaux, livrant une anecdote. “J’ai joué avec Jay-Jay Okocha et, à l’entraînement, ça dépassait tout entendement. On se souvient tous de son but à Bordeaux (1-3, le 8 août 1998). Je lui dis : “C’est quoi cette frappe de fou ?” Il montre sa cuisse, il avait un trou dans son quadriceps à cause d’une ancienne blessure, et il me répond : “Depuis ce jour-là, je frappe un peu moins fort.” Il faisait attention alors qu’il avait envoyé une châtaigne de malade ! Magique”.

    Puis l’ancien joueur évoqua le joueur “le plus fou” qu’il croisa lors de sa carrière. “Le plus fou ?
    Le coach Jean-Marc Furlan ! À l’entraînement, à Troyes, Cédric Barbosa s’énerve. D’un seul coup, Jean-Marc s’en prend à lui : “Oh, Barbosa, tu commences à me faire chier ! Si t’es pas content, tu te casses. Et si tu veux pas, tu sais quoi ? On va aller dans mon bureau, on va s’enfermer, je vais jeter la clé et on va s’expliquer !” Je me suis dit mais il est fou ce coach ! Jean-Marc, sous ses airs tranquilles, c’est un psycho (rires)”.

    Enfin, il évoqua un autre ancien bordelais dans le catégorie “le plus fêtard”. “‘Souley’ Diawara. C’était son équilibre, et c’était une telle force de la nature ! Si d’autres essayaient de le suivre, ils tombaient sur le carreau. Une fois, au Havre, on fait un tennis ballon… Il s’est mis à la barrière et n’a pas bougé. Quand le ballon arrivait, il mettait une petite tête de temps en temps, mais il restait accroché à la barrière et titubait. Il était cuit”.