Bruno Fievet : « Le Comité 1881 ? Il y a du travail qui est fait, il n’est pas visible, parfois il ne va pas au bout, mais comme tout projet »
Sur Bordeaux Le Mag, le membre du Comité 1881, Bruno Fievet, a fait un point sur les travaux justement de ce Comité, même si l’on ne sait pas exactement – faute de communication – ce dont les Girondins de Bordeaux ont bénéficié.
« Il n’y a pas assez de choses, clairement. Mais dans ça, il y a quand même des choses, des choses qui ne sont pas visibles, et il y a des projets qui ont démarré et qui n’ont pas pu aller au bout. Ce n’est pas la faute du club pour certains, mais la faute à l’organisation, au temps. Je vais donner des exemples dans lesquels j’étais impliqués, car on est tous sur des projets un peu différents. J’étais sur le sujet d’un tournoi d’Aquitaine, qu’on voulait faire à l’intersaison avec Pau, les Girondins, Niort et un quatrième club du nord de l’Espagne, et finalement ça n’a pas pu se faire car la Ligue s’en est mêlée, parce que Niort descendait et que ce n’était plus intéressant d’avoir un club de National… Ca aurait dû être un beau projet fédérateur avec des clubs d’Aquitaine, et tout le monde sait à quel point je milite pour avoir ce côté identitaire plus fort, bah ce projet s’est arrêté assez vite. On avait calé des choses, et finalement ça s’est arrêté rapidement. Il y a du travail qui est fait, il n’est pas visible, parfois il ne va pas au bout, mais comme tout projet. Après, il y a des choses moins connues. Le transfert de Lenny Pirringuel à Pau, c’est moi qui le fais. Je m’entends bien avec les gens de Pau, ils m’appellent, j’en parle à Admar, et voilà… On a un rôle à jouer qui est parfois de l’ombre, les gens ne savent pas forcément ce qui se passe, mais… Je pense aussi à Arnaud De Carli qui est plus sur le côté relationnel avec les politiques, qui aide pour le centre de formation des féminines… Ce sont des projets qui ne sont pas toujours visibles, mais encore une fois il y a quand même des choses qui se mettent en place. A mon goût, pas assez, mais vous connaissez ma mentalité, je voudrais en faire toujours plus… Je peux rester sur ma faim sur certains projets, mais on ne peut pas dire qu’il n’y a rien qui se fait ».