Sur TV7, l’attaquant des Girondins de Bordeaux, Yanis Merdji, a confirmé qu’un environnement dit familial pouvait l’aider à s’épanouir.

« J’ai toujours aimé le côté relationnel et humain. J’ai un parcours atypique parce que je n’ai pas connu les centres de formation, je n’ai pas connu tout ça… Donc c’est sûr que l’ambiance familiale, et la proximité avec le staff et les joueurs, c’est quelque chose qui est important, qui donne de la sureté dans le jeu. La communication entre les joueurs est très importante. J’ai toujours eu pour habitude justement de réunir les joueurs à la maison pour faire des petits repas, devant des matches de Ligue des Champions etc, afin de justement garder un lien ».

Et la cohésion a commencé dès le premuer jour.

« Sur le début, on était entre groupes de joueurs avec Driss (Trichard), Nama (Fofana), Adrien (Louveau), il n’y avait que moi qui avais mon véhicule donc on sortait et on allait manger ensemble. On passait nos soirées et nos journées ensemble, jusqu’à trouver un appartement ou une maison. C’est sûr que ce côté familial et les liens resserrés avec les joueurs, c’est toujours important. Ça forge un groupe et ce sont des valeurs qui se retrouvent sur le terrain. Notre premier match, l’égalisation, c’est aussi dû à cette cohésion qu’on a eue sur la première semaine, à être proches et soudés les uns les autres »

Retranscription Girondins4Ever