S’il essaye d’en faire abstraction, évidemment que les critiques le touchent. Sur ce sujet, le milieu des Girondins de Bordeaux, Jaroslav Plasil, explique que « quand la critique est bonne à prendre, aucun souci. J’ai l’habitude. Même en sélection, c’était comme ça. On te tape dessus, on te tape dessus. C’est comme ça. Je pense que c’est peut-être aussi dû au fait que j’ai eu un côté ‘problème’ avec les journalistes quand je ne leur parlais pas, tout ça… Ils pensaient que j’étais arrogant. Qu’est-ce que tu peux faire contre ça ? T’es un peu timide et t’as pas trop envie de parler aux journalistes. Et après ils se disent : ‘Lui, il se la raconte. Il se prend pour une star’ ou je sais pas quoi. Mais tu veux que je fasse quoi avec ça ? Rien. J’étais comme ça. On m’a mis dans une espèce de boîte et puis ça n’a plus bougé ».

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