Christophe Monzie : « C’est à peu près tout ce qu’il a fait. A part ça, il n’y a pas eu grand-chose »
Sur ARL, Christophe Monzie a noté, et pas que depuis la défaite des Girondins de Bordeaux au Havre, que le FCGB avait beaucoup de mal offensivement.
« C’est une impression d’impuissance, comme face à Nîmes, et après avoir encaissé un but très tôt dans le match. Le reste du temps, on a l’impression que l’on peut jouer trois heures de plus sans marquer, mais également sans avoir d’occasions de but. Les Girondins n’étaient pas non plus bien inspirés offensivement, pas saignants, et cela fait quand même un petit moment que ça dure. C’est trop peu sur le plan offensif, et Bordeaux est toujours en panne avec un seul point sur les trois derniers matches : on est dans le dur. Il n’y a pas d’autres alternatives, il faut absolument gagner vendredi contre Sochaux. Ça aurait déjà été le cas si on avait pris un point au Havre, mais je crois que si on veut avoir un rôle intéressant à jouer sur les matches retours, tous les jokers ou presque ont été utilisés […] Je le dis depuis le match à Bastia… On menait d’ailleurs flatteusement sur le corner et le but d’Ignatenko… On prend ensuite une égalisation sur un coup franc qui n’existe pas, c’est vrai, mais honnêtement, sur le match, ce n’était pas immérité que Bastia égalise. Depuis ce jour-là, j’ai trouvé qu’on était dans le dur et qu’offensivement les copies étaient beaucoup moins bonnes qu’au mois de septembre »
A l’image de Josh Maja. « Josh Maja a été très effacé face au Havre, et très décevant encore une fois ». Zuriko Davitashvili également, mais il a des circonstances atténuantes pour le journaliste. « Ce n’était pas un match pour Zuriko Davitashvili, avec toutes les fautes qu’il y a eu… Un petit gabarit comme lui, c’est compliqué. Il a donné une passe qui aurait pu être décisive si Aliou Badji n’avait pas été hors-jeu, mais c’est à peu près tout ce qu’il a fait : une belle accélération de 50 mètres. A part ça, il n’y a pas eu grand-chose ».