Benoit Costil : « A Rome, déjà, des gens sont venus me voir en m’appelant ‘Giroud, Giroud’… »
Benoit Costil est passé en conférence de presse. L’ancien gardien des Girondins de Bordeaux a fait face à diverses questions, parfois originales des journalistes. Les voici avec les thèmes ci-dessous.
Recruté par Morgan De Sanctis, DS de Salerne, et ancien gardien
« Je dirais que c’est un honneur. Je connais la carrière de Monsieur Morgan De Sanctis. J’étais petit, et il a joué très longtemps. Quand il est passé à Monaco sur la fin de sa carrière, moi je jouais à Rennes à ce moment-là. Pour vous dire, j’étais fan de deux gardiens quand j’étais petit, c’était Gianluigi Buffon, et Sébastien Frey parce qu’il était parti en Italie très jeune. Donc j’ai toujours aimé l’Italie et le Calcio. Bien évidemment donc que je connais aussi Monsieur De Sanctis. Cependant ce n’est pas une pression particulière. Tant mieux, il connait le poste, c’est bien, je peux apprendre à grandir encore à 36 ans ».
Le choix du numéro 56
« Pour le numéro, dans le vol Paris-Rome, j’ai regardé les numéros disponibles, et le numéro 1 ne l’était pas, le numéro 23 non plus, 25 non plus… Je me suis dit que j’allais faire un petit clin d’œil à une région dont je suis amoureux, en Bretagne : le Morbihan. Et le numéro du département, c’est le 56 ».
Sa ressemblance avec Olivier Giroud
« J’ai parlé avec Olivier hier, et on n’a pas spécialement parlé des spécificité de la Serie A. Par contre, je lui ai envoyé un message pour lui dire que j’arrivais en Italie et que j’étais très heureux. Je lui ai dit qu’à Rome, déjà, des gens sont venus me voir en m’appelant ‘Giroud, Giroud’ (rires). Mais c’est pareil en France. Olivier m’a dit ‘Ben, il n’y a pas de problème, en ce moment j’ai les cheveux blancs’. Et il m’a envoyé une photo de lui comme ça ».