On le savait, la DNCG avait encadré les Girondins de Bordeaux lors de ce mercato hivernal, que ce soit sur sa masse salariale comme ses indemnités de mutation. Ainsi, la priorité était avant tout de dégraisser avant même de (penser) recruter. Il faut dire que cet effectif pléthorique ne devrait pas être à cette place au classement, et c’est cette situation qui a créé un besoin pour les finances du club de voir partir des joueurs cet hiver.

Ce fut le cas avec Stian Gregersen, qui rapporta 1,6 millions d’euros dans les caisses du club, tout en faisant économiser un gros salaire de l’ordre de 50-60000€. Le second départ est celui d’Aliou Badji qui, accrochez-vous, fait économiser 50000€ par mois au club jusqu’en juin, des suites de son prêt en Turquie. L’Equipe rapporte qu’il ne manquait plus qu’un départ d’Alberth Elis (pour qui une offre d’un club de MLS avait été acceptée) afin que le club économise 67000€ mensuels, pour attirer une recrue. Seulement, cette recrue devait cocher plusieurs cases. Il fallait soit qu’elle soit gratuite ou libre, et ayant un bas salaire. Autrement dit, pas gagné…

Deux offres sont arrivées avant la fin du mercato

On ne sait pas si c’est la direction ou les joueurs, ou bien les deux, qui ont refusé ces offres. Le quotidien sportif évoquait une offre d’un club étranger pour l’international géorgien Zuriko Davitashvili. Cette offre arrivait visiblement de Suisse puisque notre joueur a décliné une proposition du FC Bâle. Le club suisse proposait 3 millions d’euros…

Puis, il y a eu une offre pour le défenseur bordelais Malcom Bokélé. Le Stade Brestois a en effet proposé n prêt avec option d’achat pour l’international camerounais, ce que les Girondins ont visiblement refusé.

A noter que rien n’est encore terminé car le mercato est encore ouvert aux Etats-Unis (MLS) ou en Suisse. Même si évidemment, les Girondins, eux, auront du mal à se renforcer en cas de départ… Mai pour cela, il faudra déjà en avoir le droit.