Albert Riera : « Il y a d’autres clubs qui les veulent, et ça dépend de l’offre. On doit vendre. Et ça, je l’accepte »
En conférence de presse d’après Bordeaux-Pau, l’entraineur des Girondins, Albert Riera, s’est exprimé sur Zuriko Davitashvili. Est-ce que face au Pau FC, il s’agissait de son dernier match aux Girondins ?
« Je ne sais pas, je ne peux pas vous répondre. Mais c’est vrai que c’est un joueur important. Il y a des bons joueurs, et il y a d’autres clubs qui les veulent, et ça dépend de l’offre. Mais dans le foot, il y a une part de business. J’aimerais bien que les joueurs que j’aimerais avoir l’année prochaine restent, mais il y a une chose à dire. On va essayer de chercher des joueurs qui sont possibles à faire venir pour la Ligue 2 et notre club, par rapport à l’aspect financier, mais on doit vendre. Et ça, je l’accepte. Peut-être qu’on va vendre plus de joueurs qu’on va en recruter, mais bon, à la fin, je préfère la qualité à la quantité. Je crois qu’on peut y arriver. Mais c’est vrai qu’il y a des joueurs pour qui, s’il arrive une offre réelle, et à la hauteur de la qualité du joueur… C’est un business, tu le vends pour aller chercher un joueur avec les mêmes caractéristiques, pour un prix moindre et essayer de l’améliorer. D’ailleurs, c’est une de mes responsabilités, d’améliorer les joueurs, pour qu’ils progressent, et rapportent plus d’argent. Parce que les joueurs ne veulent pas rester pendant 15 ans dans un club. Ils ont surement un rêve, pourquoi pas d’aller au PSG ou au Real Madrid (sourire) ».