Poundjé : « Remercier le club en transmettant une image positive à l’étranger »
Maxime Poundjé s’est livré au sujet de
l’association créée avec son père en hommage à sa grand-mère.
« Maxime Poundjé s’investit autant sur le
terrain qu’en dehors. Cette implication, nous la retrouvons dans la
fondation qu’il a créée avec son père, à Yaoundé.
La fondation Pauline Poundjé, en hommage à sa grand-mère,
vient en aide aux personnes déshéritées de la capitale
Camerounaise. A Yaoundé au Cameroun,
Maxime Poundjé et son père, Joseph
Poundjé, ont mis en place une chaîne de solidarité
humanitaire basée sur la récupération de matériels scolaires,
informatiques ou textiles. Ce matériel, usé ou obsolète, est
acheminé jusqu’en Afrique et retrouve une nouvelle utilité pour les
populations dans le besoin. En s’appuyant notamment sur un
vaste réseau relationnel (comme Romegoux & Gilles
à Gradignan) et sur les dotations sportives venant du
FCGB, la famille Poundjé vient en aide aux plus
démunis. La maison de quartier Pauline Poundjé a donc été créée à
Yaoundé pour les besoins de la cause afin de
soutenir les enfants et plus généralement les
personnes en difficulté dans les domaines de
l’éducation, du sport et de la
santé ».
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Voici quelques mots justement de Maxime
Poundjé : « C’est vrai que j’apporte
quelques tenues des
Girondins aux enfants. Je suis né à Bordeaux et je
suis au club depuis que j’ai 11 ans. J’essaie de remercier le club
à ma manière en transmettant une image positive à
l’étranger. Cela me fait très plaisir de voir des
enfants avec des maillots bordelais, maillots que je porte depuis
que je suis tout petit […] Cela m’apporte beaucoup de bonheur. J’ai
l’impression que le fait de m’être lancé dans ce projet fait
du bien aux personnes que nous aidons et me fait
également de bien. Se sentir utile est une vraie
satisfaction ».
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