Nous sommes actuellement en plein Euro 2024 du côté de l’Allemagne. Les meilleures sélections s’affrontaient dans les phases de poules afin de se qualifier pour la suite de la compétition. Nous sommes désormais au stade des huitièmes de finale et la surprenante équipe de Slovénie est de la partie.

Notre bordelais Zan Vipotnik et ses partenaires ont réussi à sortir du groupe C, en terminant dans les meilleurs troisièmes. Ils étaient derrière l’Angleterre et le Danemark, mais devant la Serbie. Pour ce huitième de finale, ils défiaient un des favoris de cet Euro, le Portugal de Cristiano Ronaldo.

Zan Vipotnik était une nouvelle fois remplaçant au coup d’envoi. L’attaquant des Girondins de Bordeaux doit se contenter du rôle de doublure, derrière le duo Benjamin Sesko (RB Leipzig ALL) et Andraz Sporar (Panathinaïkos GRE). La première période est plutôt fermée et il y a peu d’occasions à se mettre sous la dent. Les slovènes font des fautes pour contenir les portugais. En face, on s’appuie sur Cristiano Ronaldo pour tenter d’ouvrir le score mais sa tête (31ème) et ses frappes (34ème et 38ème) ne donneront rien. La Slovénie va se procurer deux situations juste avant la pause, sans tromper le portier portugais.

En deuxième période il ne va pas se passer grand-chose non plus, à l’image de France – Belgique qui fut plutôt fermé. Les slovènes vont rivaliser avec les portugais dans ce match très indécis. Ronaldo aura une occasion à la 89ème minute mais Oblak va bien stopper le ballon. Il y aura donc des prolongations dans cette rencontre. A la 105ème minute, le Portugal obtient un penalty, mais Oblak détourne le ballon en corner. Les slovènes auront même une balle de but à la 115ème mais l’attaquant manque son face à face avec le portier portugais. Les deux nations vont donc se départager aux tirs aux buts.

Les slovènes vont se heurter à un très bon Costa et s’inclinent donc à l’issue de cette séance. Les portugais joueront donc contre la France, avec une prolongation dans les jambes. Zan Vipotnik aura assisté au match depuis le banc, sans pouvoir entrer en jeu.