La plus grosse fiesta, la plus grosse baston, le club de cœur, le club qu’il détestait affronter… Les réponses de Jean-François Domergue

    Photo : Jean Paul Thomas / Thomas Pictures / Icon Sport – Photo by Icon Sport

    Sur Le Podcast des Légendes, l’ancien joueur des Girondins de Bordeaux, Jean-François Domergue, a répondu à des questions, à la manière de “Paroles d’Ex” dans L’Equipe. Voici ses réponses.

    Meilleur ami dans le foot, et pire ennemi

    « Alain Giresse. Pire ennemi, je n’en ai pas ».

    Club de cœur

    « Bordeaux »

    Stade Lescure ou Vélodrome

    « Vélodrome »

    Le club qu’il détestait affronter

    « Sedan. C’était dans un coin brumeux… ».

    La plus grosse baston

    « C’était Bordeaux-Marseille, en 86-87. Gernot Rohr n’a pas arrêté de tacler et mettre des coups à Alain Giresse, des regroupements systématiques entre trois ou quatre joueurs de chaque côté… Un match hyper tendu ».

    Le transfert qui aurait pu se faire à l’étranger

    « En 84, bien évidemment, il n’y a pas l’arrêt Bosman, il n’y a pas tous les aspects qui vont se mettre en place dans le football moderne. Si à cette époque j’avais pu, j’aurais aimé être transféré au Real Madrid ».

    Claude Bez ou Bernard Tapie ?

    « Ah putain… Aie. Bernard Tapie. Pourquoi ? J’ai la réponse, mais ça m’ennuie de la donner ».

    Entraineur préféré ?

    « Goethals et Jeandupeux ».

    La plus grosse fiesta

    « Après une compétition, c’est après l’Euro 84. J’ai fait une fiesta à Paris, et une autre à Toulouse avec les amis, les proches ».

    A t-il été approché pour balancer un match ?

    « Oui, mais joker ».

    Le joueur qui l’a le plus impressionné

    « Karl-Heinz Förster. J’ai joué avec lui dans l’axe. Un top niveau, humainement, athlétiquement… j’ai beaucoup appris avec lui. J’avais pris l’habitude de sortir avec lui une demi-heure avant l’entrainement, et de me préparer avec un petit footing, des étirements, des assouplissements. C’était un mec en or, hyper pro. Tu prends deux ou trois choses de lui, tu grandis inévitablement. Un mec fabuleux ».

    Retranscription Girondins4Ever