Jean-Marc Furlan : “Finalement, j’ai été à l’encontre de ce que je pensais, mais quand ça saute aux yeux, tu ne joues pas au con, tu ne fais pas le dictateur”

    Pour La Rep, Jean-Marc Furlan s’est souvenu des début de Paul Bernardoni, lui qui était alors coach de Troyes.

     « Paul ? Les mecs du centre de formation me disaient qu’ils avaient un très très bon gardien. Moi, je leur disais ’jamais’ ! (rires) À l’époque, je préférais avoir un mec qui avait déjà joué 200 matches en L1 ou L2, plutôt qu’un jeune qu’on me présentait comme très bon. Je ne pensais jamais le prendre, mais comme on intégrait régulièrement des jeunes à l’entraînement, j’ai voulu voir. Et après un mois avec nous, je l’ai fait jouer. Sa lecture du poste, son charisme, son aura me plaisaient. Finalement, j’ai été à l’encontre de ce que je pensais, mais quand ça saute aux yeux, tu ne joues pas au con, tu ne fais pas le dictateur. »