François Grenet : “A 300000€ par mois, si la presse dit vrai, entre Koscielny et Petkovic, je préfère garder Koscielny et pas Petkovic”

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    François Grenet a expliqué qu’aujourd’hui, les Girondins de Bordeaux n’avaient plus le temps et qu’il fallait, selon lui, créer un électrochoc avec le départ de Vladimir Petkovic, victoire ou non contre Strasbourg.

    « Le temps pour construire, il y a par rapport au projet du club, et ça c’est les dirigeants. Et il y a la saison en cours et l’entraineur à la tête de l’équipe qui a eu le temps, légitimement. De la patience et de la tolérance lui ont été accordées, et aujourd’hui, le crédit est épuisé. Dans la situation dans laquelle on se trouve, en plus, je ne trouve pas que psychologiquement, dans sa façon de communiquer… Ce n’est pas contre lui et sa personne, mais ce n’est pas ou plus le style de manager dont on a besoin. Voilà ce que je pense profondément ».

    « Je n’ai absolument rien contre lui, mais le constat est là. Il y a eu de la patience, il y a eu beaucoup de compréhension de la part de tout le monde. Mais je crois que voilà, la situation fait que ça va vite passer, ça va s’enchainer, et il faut changer de braquet, de fusil d’épaule […] Même s’il y avait un succès contre Strasbourg, personnellement, je chercherais quand même à changer l’entraineur. Par rapport à l’aspect économique et financier par contre, je ne suis pas dans le projet du club, mais je crois comprendre que ce n’est pas la rigolade non plus, et que ça a un coût. Mais à 300000€ par mois, si la presse dit vrai, entre Koscielny et Petkovic, je préfère garder Koscielny et pas Petkovic. Ca n’engage que moi ».

    ARL

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