Yon Ecenarro : “Ils devraient prendre comme sponsor Otis, les ascenseurs. Ce sont eux qui remontent le plus vite en général”

    (Photo by Christophe Saidi/FEP/Icon Sport)

    Sur France Bleu Gironde, dans l’émission 100% Girondins, Yon Ecenarro, consultant pour la radio, a donné sa vision sur le FC Metz, futur adversaire des Girondins de Bordeaux.

    Ça fait très longtemps que j’en parle de Metz, ça fait un petit moment que je les vois arriver. Ils devraient prendre comme sponsor Otis, les ascenseurs. Ce sont eux qui remontent le plus vite en général. En stats je crois que c’est en deux ans et demi de moyenne alors qu’en général la moyenne c’est plutôt 3-4 ans. Des grandes équipes comme Lens et autres ont mis 10 ans pour remonter, Auxerre pareil… Sur les cinq derniers matchs c’est trois victoires et deux nuls, Bordeaux c’est trois victoires et deux nuls. C’est vrai que ça ne fait pas beaucoup tourner. Pour nous ce serait une bonne chose, mais pour le FC Metz ce ne serait pas terrible que Mikautadze ou Maziz aient un petit pépin parce que sur les huits derniers buts messins, il y en a six qui sont au crédit des deux, avec trois chacun, plus deux passes décisives de Mikautadze. A part le CSC de Prior et le but de Maïga, les messins sont par ce binôme. Je les vois forts. Certes on n’a pas perdu là-bas depuis le 15 Mai 2004. Si on compte les années où ils étaient en Ligue 2 et nous en Ligue 1… il y a quand même 11 saisons où on s’est rencontrés et où on n’a pas perdu à Saint-Symphorien. Ce ne sera pas le jour de battre le signe indien (rires). Que ce soit Bordeaux et Metz, j’ai l’impression que ce serait présomptueux de dire qu’ils ont visé cette période du championnat pour mettre ce coup de collier. Je pense qu’ils sont prêts et ça va lutter fort jusqu’à la fin.”

    Retranscription Girondins4Ever

    Du lundi au vendredi, sur France Bleu Gironde, retrouvez l’émission 100% Girondins, animée et présentée par Dominique Bourdot à partir de 18h30. Vous pouvez retrouver le podcast de l’émission quelques minutes après la fin de celle-ci : ICI.