Arnaud Saint-André : « Avec la croissance du club, les équipes jeunes vont renaître. On va se pencher dessus début 2025 »
Comme rapporté par Paris Normandie il y a quelques jours, le nouveau directeur général des Girondins de Bordeaux, Arnaud Saint-André, assure une transition avec son désormais ancien club, Quevilly Rouen Métropole, avec qui il travaille encore un peu. Mais évidemment, il est pleinement investi aux Girondins de Bordeaux, lui qui a quitté son poste pour « vivre cette aventure » peu commune d’un club historique, déclassé sportivement et administrativement en National 2.
Pour Sud Ouest, Arnaud Saint-André se montre déterminé et ouvert, étant là pour restructurer un club au niveau administratif, qui a connu un très grand écart avec ce qu’il était. Ses missions à ce niveau sont nombreuses, que ce soit au niveau des liens avec le tissus local et régional, et ce même s’il est, comme nous ou le club, toujours sous la « menace » d’une décision du Tribunal de Commerce et des instances sportives. Sponsoring, relation avec les supporters, vie quotidienne… Ses missions sont nombreuses mais à l’image d’un Bruno Irles, le challenge d’une reconstruction est certainement palpitant.
Nous avons choisi de vous proposer l’extrait de l’interview du quotidien régional concernant la formation, mais aussi le retour de Jean-Louis Triaud aux affaires au nom de l’association, preuve qu’en coulisses tout le monde s’active également pour sortir le club d’un étage où il n’aurait jamais dû être.
« La formation sera essentielle pour l’avenir des Girondins. Jean-Louis Triaud est présent au travers de l’association. L’été dernier, la priorité a été la survie du club, donc il y a un nombre minimum d’équipes. Tout laisse à penser que ça ne va pas durer. Avec la croissance du club, les équipes jeunes vont renaître. On va se pencher dessus début 2025. Jean-Louis et Françoise Brunet sont au même étage que nous, dans un bureau tout proche. On échange dans l’intérêt du club au sujet de la formation et des féminines. »
33 ans, c’est jeune, mais c’est un bon nombre, non ?
