Le plus gros boucher, son héritage, la plus grosse baston, son meilleur look, Marseille le pire public… Les réponses de Jean-Christophe Thouvenel

    Photo : Alain de Martignac / Icon Sport Local Caption thouvenel – Photo by Icon Sport

    Dans Le Podcast des Légendes, l’ancien latéral des Girondins de Bordeaux, Jean-Christophe Thouvenel, a répondu à diverses questions sur sa carrière, un peu dans le même registre que Paroles d’Ex dans L’Equipe. Découvrez ses réponses sous les thèmes proposés, ci-dessous.

    Le plus gros boucher

    « Rolland Courbis. Il y a eu Carlos Mozer. Oui, Courbis était pire que Mozer. Courbis était dangereux, lui ».

    L’héritage qu’il laisse au foot

    « (long silence) Est-ce que je laisse un héritage… Cela veut dire quelque chose que j’aurais gagné, et que je transmettrais au monde… Non, je n’ai pas de réponse. Cela mérite une réflexion ».

    La plus grosse baston

    « (rires) A Bordeaux, il y a eu une baston terrible. C’était un match contre Lens, avec Pantelic. Ce n’était pas le juge de touche hein… Mais c’était une baston terrible. J’ai assisté à des échauffourées, c’est arrivé plusieurs fois, et en plus j’étais plutôt toujours aux premières loges quand ça commençait à taper. Mais je n’ai pas assisté à une baston plus dure l’une que l’autre ».

    Jean-Christophe Thouvenel — Wikipédia

    Le look qu’il a préféré lors de sa carrière

    « La période où j’étais au Paris FC. Là ça déchirait, là c’était fort. Les cheveux hyper longs raides, oui »

    Le public le plus chaud/hostile

    « Le plus beau public, c’est Lens, et ils le prouvent encore aujourd’hui. Le public qui m’a fait le plus mal au cœur, là où je me suis dit qu’on était vraiment tombés bas, malgré que ce soit un très beau public, c’est le public marseillais. Tout simplement parce qu’on joue avec Bordeaux contre Marseille, à Marseille. Joseph-Antoine Bell dans les buts… il était le gardien de Marseille l’année d’avant. Il est dans nos buts à Marseille, et le public lui a lancé une tonne de bananes sur la tête. Une tonne de bananes… Quand j’ai vu ça, je me suis dit qu’on était tombés vraiment bas ».

    Retranscription Girondins4Ever