[Pelouse] Il n’y avait pas que l’aspect, il y avait aussi l’odeur
Emmanuel Imorou, le joueur du Stade Malherbe, n’a pas caché ses difficultés à évoluer sur la pelouse du Matmut Atlantique, face à Bordeaux. « La pelouse était très dure par endroits, mais on pouvait aussi glisser comme s’il y avait de la boue sur d’autres parties. Parfois, il n’y avait ni herbe, ni terre : on jouait sur un truc blanc, une espèce de substrat ». Pire, Rémy Vercoutre expliqua qu’il y avait aussi une odeur ressentie par les joueurs. « Je n’ai jamais vu ça. On était assez circonspects quand on est entré sur le terrain… Ce n’était pas beau, pas agréable, pas forcément jouable, et en plus, ça sentait mauvais… Il faut être honnête, ça nous a aidés. Je ne suis pas sûr qu’avec une pelouse digne de ce nom on aurait gardé notre cage inviolée ».
L’Equipe