Lorsqu’il était à Guingamp, Jocelyn Gourvennec n’a pas connu des périodes où tout roulait parfaitement. Il peut s’appuyer sur ces moments de son expérience pour savoir ce qui peut faire basculer la tendance. « Je crois qu’il y a deux choses qui sont toujours fondamentales dans ces cas-là. C’est d’avoir un staff qui tient la barre et qui garde un axe en étant solide et derrière son groupe pour continuer à avancer. Le deuxième élément, c’est qu’à un moment donné, les joueurs prennent conscience qu’il faut encore en faire un peu plus pour que ça se matérialise et que les choses changent. Tout le monde a des efforts à faire et chaque petit effort fait par chacun, staff, joueurs, feront que ça s’améliorera. Je pense que si on fait cet effort là aussi, parce qu’on doit être meilleur… Je ne peux pas défendre notre mauvais match de samedi contre Strasbourg, ça n’a vraiment pas été bon. Mais ça ne reste qu’un match, ça n’a pas toujours été comme ça. Il y a des matches qui ne nous ont pas souri. Mais pour que ça sourit à nouveau, il faut qu’on en fasse un petit peu plus. Et ça, c’est notre devoir ».

 

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