Vincent Guérin a donné son avis sur le pénalty sifflé qui est litigieux. « Il y a un petit accrochage. C’est le bras de Lerager. C’est une petite faute mais malheureusement grosse conséquence puisqu’après il y a un pénalty transformé par Max-Alain Gradel. Mais cette petite faute est sanctionnable et elle a été sanctionnée. On peut aussi éventuellement ne pas la siffler. Mais bon c’était sanctionné ».

 

Avant d’analyser comment les Girondins peuvent se sortir de la situation dans laquelle ils sont actuellement. « Ça a commencé à s’effriter depuis leur venue à Paris au Parc des Princes. C’est surtout dans l’état d’esprit, dans la mentalité, je trouve qu’il n’avait pas l’esprit coupe sur ce match. Même si cela était difficile à travers les déconvenues diverses et variées des semaines passées mais il n’y avait pas cet état d’esprit. Toulouse sans faire un match extraordinaire a été dans l’esprit coupe pour pouvoir passer et à pratiquer le football qu’on peut attendre d’un match de coupe de la Ligue. Toulouse a été dans ce cadre-là […] Il faut peut-être retrouver des leaders. On les cherche dans certaines situations. Face à Toulouse, c’était très difficile de déterminer véritablement un ou plusieurs leaders du côté de Bordeaux. C’est un premier problème. Ensuite retrouver cette grinta, cette agressivité. Ils ont été amorphes sur ce match-là. Il faut retrouver de l’agressivité car justement, les résultats viennent aussi à travers la dualité, un comportement et une attitude digne d’une équipe professionnelle pendant 90 minutes […] Il faut retrouver un état d’esprit conquérant et il faut retrouver des leaders. Les leaders aujourd’hui ils sont un peu fuyants. Il faut retrouver une âme d’équipe et là aujourd’hui on cherche un petit peu cette âme. Il faut en faire plus dans l’état d’esprit, dans la mentalité et dans l’agressivité. On ne peut pas revenir sur le devant de la scène avec des résultats sans avoir ces ingrédients d’agressivité dans le comportement”.

 

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