Les Girondins tenus en échec à la pause par les dijonnais réduits à 10
Le début de rencontre est assez haché par de petites fautes. Yann Karamoh, dans les 10 premières minutes, récolte un carton jaune pour être intervenu en retard sur Chafik, lui qui avait subi une légère semelle d’un ancien bordelais Cédric Yambéré sur l’action d’avant sans que l’arbitre ne siffle faute. La première vraie situation est à mettre à l’actif de Dijon et de Kwon qui, lancé, par au but mais croise trop sa frappe (14ème). Encore une occasion pour les dijonnais, sur un centre de Chafik, Jules Koundé repousse de la tête le ballon dans l’axe. Heureusement pour les Girondins, Abeid ne peut reprendre correctement le ballon à l’entrée de la surface après son contrôle poitrine (16ème). Première frappe bordelaise à la 17ème, Samuel Kalu à l’angle de la surface tente sa chance mais le portier dijonnais veillait. 28ème minute, la plus grosse occasion depuis le début de la rencontre, contre attaque dijonnaise avec Said qui lance dans la profondeur Tavares. L’attaquant dijonnais se retrouve seul face à Benoit Costil qui sauve les siens de l’ouverture du score. Les bordelais ont eu très chaud, avertissement sans conséquence. 30ème minute, très bon coup franc obtenu par Yann Karamoh, qui se charge de le tirer. Le gardien de Dijon se couche bien sur la tentative.Sur le contre, Tavares encore lui, se présente une nouvelle fois face à Benoit Costil qui une nouvelle fois sauve les Girondins de l’ouverture du score. Le match s’emballe et Benoit Costil relance rapidement en direction de Jimmy Briand. L’attaquant bordelais est tacle en retard par Amalfitano. L’arbitre siffle et sort le carton rouge direct pour le milieu de terrain dijonnais qui laisse ses coéquipiers à 10. Kamano se procure une dernière occasion avant de rentrer aux vestiaires, mais il est contré lors de sa frappe pied droit.
Les Girondins rentrent aux vestiaires tenus en échec par des dijonnais qui les ont mis en difficulté sur ce premier acte, mais qui sont réduits à 10. Il faudra montrer bien plus en seconde période.