[J18] Les tops/flops Girondins4Ever de Marseille-Bordeaux

    Jimmy Briand

     

    Pour faire suite aux notes publiées sur notre site il y a quelques minutes, la rédaction Girondins4Ever s’attelle désormais aux tops/flops. Voici les deux catégories de commentaires :

    Les tops

    Benoit Costil (7/10) : Sans lui, Bordeaux rentrait aux vestiaires à la pause avec quatre buts dans la musette. Il craque juste avant la mi-temps, sur un corner où il ne peut malheureusement rien faire. Impuissant sur ce but, il a repoussé toutes les autres tentatives marseillais. Sans ça, c’est une copie parfaite. Il s’en sort qu’avec un très bon match, bravo à lui tout de même.

    Jules Koundé (6/10) : Le seul joueur de champ avec la moyenne, et le seul jouer de champ à surnager tout simplement. Dans ce marasme collectif, il a su se montrer très solide et très important dans les récupérations. Par deux fois sur une action chaude, puis via un sauvetage quelques minutes plus tard, il a sauvé la baraque bordelaise et a maintenu l’espoir jusqu’au bout. Dommage que ses partenaires ne l’ont pas imité dans l’engagement…

     

    Les flops

    Samuel Kalu (1/10) : Le bonnet d’âne du soir. Auteur d’un très début de match offensivement (la précision est nécessaire car il est revenu deux-trois fois en défense), il n’a pas arrangé les choses en écopant de ce carton rouge. Il laisse ses partenaires bêtement sur quasiment la totalité du match, rendant la rencontre très complexe. Et que dire du tacle ? Complètement inconscient, inutile et surtout très dangereux. L’ombre d’Enzo Crivelli traînait par là. On t’embrasse Zozo si tu nous écoutes.

    Andreas Cornelius (2/10) : Fidèle à lui-même sur ses dernières sorties, le géant scandinave n’a pas existé. Deux-trois bons appuis en pivot et puis s’en va. Rien du tout. Forcément pas aidé par l’exclusion de son compère, il s’est retrouvé esseulé le reste de la mi-temps. Remplacé au retour des vestiaires par Kamano (qui n’a bien entendu pas fait mieux. Vous en doutiez ?).

    Jimmy Briand (2/10) : Pas le plus feignant dans la motivation, c’est plus la réalisation qui est à pointé du doigt pour l’attaquant. Des manques de justesse, des pertes de balle évitables, et des phases de jeu gâchées par l’ancien guingampais. L’on rajoute à cela une faute de marquage sur le but de Kamara, et l’on a un bien mauvais match. Mais finalement, qui se fond totalement dans la nullité globalement de l’équipe.