Si les activités sont arrêtées, que ce soit les matches des Girondins de Bordeaux, les événements, voire les concerts à venir, le Matmut Atlantique n’est pas complètement en sommeil. Dans cette période de crise, il y a l’entretien du stade, de la pelouse, et bien d’autres choses permettant ainsi à l’enceinte d’être opérationnelle quand l’activité pourra reprendre. Pour notre stade par exemple, Christophe Pierrel, président de Stade Bordeaux-Atlantique (SBA), “Il y a toujours de la présence humaine pour des questions de gardiennage, donc ce n’est pas la peine de venir jouer au football”. Et la crise touche évidemment aussi SBA, qui n’avait pas besoin de ça, puisque des coûts sont quand même existants, alors que l’activité économique en termes de rentrées est absente. “Ca ne coûte pas beaucoup moins cher que d’entretenir à plein. En résumé, l’activité est à zéro et les charges sont presque toutes là”.

AFP