Leaks Ultramarines, Chapitre 1 : « Victimisation, mensonges, et calomnies » (audio et écrit)

    Les Ultramarines viennent de publier le Chapitre 1 de leurs leaks concernant les enregistrements du « Conseil des membres » des Girondins de Bordeaux. Le premier Chapitre s’intitule « Victimisation, mensonges, et calomnies ». Voici les propos retranscrits, avec en bas de page l’audio.

    Antony Thiodet

    « C’est une infime minorité, toute petite. On estime qu’aujourd’hui, c’est 15 et 20 personnes qui aujourd’hui font le bruit qu’ils font. A force d’harcèlement. On regarde quand même les choses de près sur les comptes Twitter machin truc… On arrive à obtenir les adresses IP. C’est avec la même adresse IP que tu as 4-5 mecs qui se répondent les uns aux autres ».

    Frédéric Longuépée

    « Moi, aujourd’hui, il y a des gens qui twittent en disant le quartier dans lequel j’habite. Qui cherchent mon adresse. J’ai des gamins qui emmerdent ma fille à l’école, qui ont mis des affiches sur les portes de classe ‘Longuépée démission’. Ma fille ne voulait pas m’en parler. Ma fille se pose la question si elle va rester à Bordeaux. Le personnel de la sécurité est venu me voir en disant : ‘Président, ne vous étonnez pas si nous venons vous extraire de votre siège dans l’hypothèse où nous perdons’ ».

    Antony Thiodet

    « J’ai un texto de gens qui m’ont écrit, ‘on sait où tu habites et on sait où tes enfants vont à l’école’. Porter plainte ? On sait juste que l’expression de ça c’est de la colère et du courroux. Sur le match de Dijon en Coupe de France, où c’est la première fois qu’ils ont mis le feu, j’observais qu’il y avait des moments où ça se mettait à chanter dans le Virage. Et puis ça s’arrêtait tout de suite. Ce jour-là, je sors du stade, et puis il y a un monsieur qui vient vers moi. Il me dit ‘je suis supporter, et je suis Président des Marine et Blanc de Paris, il faudra que je vienne vous parler mais je ne vais pas le faire tout de suite’. Il me dit ‘on ne peut pas parler longtemps ici parce que je ne voudrais pas qu’on me voit en train de parler avec vous’. Il me dit juste : ‘je voulais vous dire qu’on a essayé de chanter ce soir, et qu’on a été menacés’ ».