Pierre Ducrocq : « Quand tu as l’aspect populaire qui s’en mêle, c’est fini. C’est fini, fini »
Pour Pierre Ducrocq, vu la situation actuelle des Girondins de Bordeaux et l’engouement populaire, la direction bordelaise actuelle ne peut pas s’en sortir.
« Quand tu as l’aspect populaire qui s’en mêle, c’est fini. Maintenant, il n’y aura plus rien d’objectif, ni d’un côté ni de l’autre. C’est fini, c’est fini, bien sûr qu’il y a un point de non-retour qui a été atteint […] Son défaut au propriétaire, c’est d’avoir choisi les mauvais hommes, c’est ça quoi. Mais il a le droit de changer à un moment donné… […] Olivier Létang ? Il a une compétence, ce n’est pas pareil. Quand il arrive dans un club, il a du football, il s’occupe du sportif également. Il a une vraie idée du football. C’est une vraie différence avec un Longuépée qui, je pense, ne connait pas grand-chose au football. Olivier Létang, quand il arrive à Rennes, il fait très attention à la culture bretonne, très attention à comment faire les choses, et il est assez malin pour s’ancrer un petit peu de la culture locale ».