« Ah oui j’ai remercié Pierrot Labat. Je l’ai eu hier au téléphone, il m’a parlé de Duga, il m’en parlait souvent au sujet de la vélocité. Il me disait que tout le monde disait de lui qu’il n’était pas travailleur, mais que lui assurait que Duga était travailleur. En tout cas, quand je suis arrivé à Bordeaux, ça ne s’était pas bien passé quand j’avais joué au départ, mais je me suis aussi remis en question, en me disant que je n’étais plus à Troyes, plus dans mon confort, qu’il fallait que je travaille en amont sur mes points faible, comme mon jeu de pied. J’avais demandé à travailler en plus, on m’avait aiguillé sur Pierrot. On m’avait dit ‘tu vas voir’. Et c’est vrai qu’il m’a ouvert l’esprit sur beaucoup de choses, sur les petits appuis, sur sa façon de travailler. On le faisait deux fois par semaine quand j’étais à Bordeaux. C’est comme ça qu’est née cette relation. Et puis c’est quelqu’un de très attachant, très humain. Pour moi, c’est un génie. Il a une perception du foot à laquelle j’ai de suite accroché. Voilà comment est née notre relation, on est toujours en contact ».