Paul Bernardoni : “Après trois prêts de suite, je voulais un contrat de plus longue durée, pour ne plus être dans la situation de ne pas savoir quoi faire au bout de six mois”

    (Photo by Eddy Lemaistre/Icon Sport)

    Transféré des Girondins de Bordeaux au SCO d’Angers, Paul Bernardoni a une nouvelle fois expliqué pourquoi il avait rejoint le club angevin, pour Ligue1.

    “La première chose, c’est que je voulais continuer à avoir du temps de jeu, continuer mon évolution, continuer à jouer. Et après trois prêts de suite, je voulais un contrat de plus longue durée, pour ne plus être dans la situation de ne pas savoir quoi faire au bout de six mois. Et puis, il y a aussi eu le discours du président, du coach, du coach des gardiens. Je me suis senti désiré. Cela a été l’élément le plus important […] Ce n’est pas moi qui les ai obligés à mettre ce prix-là. S’ils l’ont mis, c’est qu’ils estiment que je le mérite. Moi, je n’ai pas de problème à avoir avec ça. Moi, on me demande juste de jouer au foot. Evidemment, il va falloir que je fasse mes preuves. Quand je suis arrivé à Nîmes, je sortais d’une très grosse saison en Ligue 2 BKT. Là, j’ai plus de deux saisons en Ligue 1 Uber Eats dans les jambes, une saison pleine en Ligue 2. J’arrive avec un autre statut mais j’en suis ravi. On grandit, on évolue, c’est le principal”.

    Quels sont vos objectifs pour cette année ?
    J’ai envie d’être le plus régulier possible, le plus performant, et essayer de ramener le maximum de points quand j’en aurai l’occasion. Et puis, il y a l’énorme objectif des JO. Le report d’un an a été un peu compliqué au début parce qu’on se prépare toute une saison pour ça. Et puis j’ai eu la crainte que notre génération ne soit plus sélectionnable. L’attente pour savoir si on pourrait y aller ou pas a été un peu longue ! L’équipe A ? Je travaille au maximum, je vais essayer d’être le plus régulier possible, le plus performant et si, dans les années à venir, j’ai cette chance-là, parce que c’est quand même un honneur et une chance, tant mieux pour moi ! Mais ça va passer par énormément de travail.

    (Photo : SCO)