[J6] Les Tops-Flops Girondins4Ever après Bordeaux-Dijon

Après les notes, voici les Tops-Flops Girondins4Ever après la victoire des Girondins de Bordeaux face à Dijon (3-0).
Les Tops
Laurent Koscielny (7) : Que dire de plus que lors des 5 premières rencontres ? Notre capitaine semble vivre une seconde jeunesse. Impérial et infranchissable, il a relancé proprement et a su également percer le premier rideau dijonnais pour prêter main forte à son milieu de terrain. Chapeau l’artiste !
Samuel Kalu (6,5) : Insaisissable en première mi-temps, il a donné le tournis à la défense de Dijon. Récompensé par un but, il aurait pu être l’homme du match s’il ne s’était pas éteint en seconde mi-temps
5ème Clean-Sheet : A part lors du déplacement à Lens où la défense – mais également l’ensemble de l’équipe – a semblé fragile dans un schéma en 3-5-2, la défense bordelaise est la grande satisfaction de ce début de championnat.
L’animation offensive : du mouvement, de la justesse et de la rapidité dans les transmissions (surtout en 1ère mi-temps) et 3 buts. Même si l’opposition était faible ce dimanche, Jean-Louis Gasset et ses joueurs connaissent désormais les ingrédients pour faire trembler les filets adverses.
Les Flops
Nicolas De Préville (4) : On ne peut pas lui reprocher de se battre, de provoquer mais depuis plusieurs semaines il n’arrive plus à faire les bons choix. Pour éviter de s’éparpiller, il a laissé sa place sur les coups de pieds arrêtés. Malgré tout, il l’a joue trop souvent solo et son manque d’altruisme dépeint avec un jeu bordelais plus simple et plus vertical. Il doit se ressaisir, même si nous n’oublions pas qu’il est tout de même passeur décisif lors de ce match.
Josh Maja (4,5) : Il a été très intéressant dans son jeu dos au but, décrochant pour aider son milieu de terrain à remonter, il est toujours bien placé et ses appels en profondeur de qualité montrent une meilleure compréhension du jeu de ses coéquipiers. Malgré tout sa maladresse devant le but vient entacher sa prestation. On sent qu’il lui manque un but pour éviter de tergiverser devant la cage adverse.
La seconde mi-temps : On aurait aimé que la seconde mi-temps ressemble à la première, surtout que les joueurs de Dijon semblaient perdus sur la pelouse. Mais le constat est implacable, quand nos joueurs n’exercent plus de pressing, quand ils ralentissent le jeu, alors nous redevenons une équipe friable et ennuyeuse. A méditer pour la suite de la saison.