La presse locale troyenne, et plus particulièrement l’Est Eclair, a mis dans ses “on n’a pas aimé” de la rencontre entre l’ESTAC et les Girondins de Bordeaux, l’arbitrage de Romain Lissorgue, mais également de ses assistants et de la VAR. Le média a qualifié cet arbitrage d’“à contresens… dans les deux sens”. Il faut dire qu’un penalty (même si cela aurait été sévère) aurait pu être sifflé pour Troyes pour une main bordelaise dans la surface, mais qu’à l’inverse une main imaginaire de Jimmy Briand en toute fin de rencontre a donné une opportunité à Troyes d’égaliser. C’est certainement aussi pour cela que le média parle “des deux sens”, et cite d’ailleurs d’autres nombreux exemples :

“Pas question ici de dire que l’Estac a perdu à cause de l’arbitre. Mais le clan troyen, encore après la rencontre, affirmait qu’un penalty aurait dû lui être accordé sur une faute de main dans la surface. « Cela n’a pas été checké par le VAR alors que nous, on est sans cesse checké », remarque Laurent Batlles. De son côté, Bordeaux ne comprenait pas pourquoi Elis n’avait pas bénéficié d’un penalty. D’autres décisions sont incompréhensibles : une faute sifflée alors que Biancone simule, un avertissement à l’encontre du défenseur troyen alors que c’est lui dont le maillot est arraché par Briand. On en passe et des meilleures…”.