Le panel des “attaques” de Winamax envers les Girondins de Bordeaux : “On les vanne mais on les paye”

    Le directeur général adjoint des Girondins de Bordeaux, Thomas Jacquemier, a expliqué les raisons de la fin de collaboration entre notre club et Winamax, cet après-midi en conférence de presse.

    « La Fondation Cœur Marine et Blanc est une jeune fondation que le club a créé il y a un peu moins de deux ans. Elle soutient des opérations et des associations qui œuvrent autour de trois grandes causes : la santé, l’enfance et l’inclusion sociale. Cela grâce aux dons du public et de la communauté bordelaise. Je précise que ce changement ne vient pas perturber le financement du club, le financement du budget, qui est bouclé pour la saison, indépendamment de ce partenariat. Aujourd’hui, on résilie notre contrat de partenariat avec Winamax, dont la communication s’était désolidarisée du club ces derniers temps, à travers des vidéos, des tweets notamment à propos du dernier match. C’est ni en phase avec l’esprit d’un partenariat tel qu’on le voit, ni en phase tout simplement avec notre contrat. C’est la raison pour laquelle on l’a terminé. Et c’est la raison aussi pour laquelle on profite de cette opportunité qui nous est donnée de mettre en avant notre fondation et des éléments plus positifs ».

    Il faut dire que si la ligne éditoriale de Winamax était connue de tous, le FCGB était particulièrement ciblé ces derniers mois. Un comble pour un partenaire. Ce partenariat, d’ailleurs, n’était pas de l’ère Gérard Lopez puisque c’est l’équipe de Frédéric Longuépée qui y avait travaillé.

    Pour comprendre cette décision du FCGB de rompre ce contrat, voici un panel de tweets de la marque de paris sportifs, attaquant les Girondins de Bordeaux. Au nom de “l’humour”.

    “En temps normal on vanne tous les clubs gratuitement. Les Girondins ont un traitement de faveur car eux on les vanne mais on les paye. Notons quand même que l’on fait beaucoup moins de dégâts que De Préville car lui est carrément payé par les Girondins pour leur porter préjudice”.