Florian Brunet : “Il fallait satisfaire le besoin de sensationnalisme de nos amis journalistes… Les mêmes qui auraient été outrés de débordements…”

    Photo Julien Bée

    Jeudi soir, sur ARL, Christophe Monzie s’était posé des questions quant au “silence relatif” des supporters des Girondins de Bordeaux. Le journaliste expliquait que par le passé, les supporters avaient été beaucoup plus virulents envers les joueurs, la direction, par l’intermédiaire de banderoles ou autres démarches/actions. Les propos du journaliste ne sont pas passés inaperçus après des Ultramarines, et notamment de Florian Brunet, qui aurait bien voulu en discuter avec le principal concerné vendredi à l’entrainement au Stade René Gallice, mais ce ne put se faire. Le supporter a tenu à expliquer qu’il n’est pas possible de comparer les époques, les contextes, et donc les situations, bien que les Girondins de Bordeaux soient actuellement la lanterne rouge de la Ligue 1.

    “C’est dingue comment une direction travaillant en bonne intelligence avec ses supporters les plus fidèles interpelle… Nos communiqués n’étaient pas assez explicites ? Ah oui pardon, il fallait satisfaire le besoin de sensationnalisme de nos amis journalistes.

    Les mêmes qui auraient été outrés de débordements, les mêmes qui nous auraient enfoncé au moindre dérapage. Et comparer une époque où nous jouions l’Europe deux fois sur trois à une époque où nous nous sommes sauvés de justesse sportivement et administrativement est juste de la bêtise”.