Sur France Bleu Gironde, dans l’émission 100% Girondins, Benjamin Gufflet et Arnaud De Carli étaient invités pour parler du Club Scapulaire. Présentation des deux personnes à l’origine de cette idée.

 

Benjamin Gufflet :

 

“Entrepreneur français, je suis les Girondins de Bordeaux depuis tout petit. Je joue au foot au niveau régional ici. Mon papa fait partie de l’association des anciens des Girondins de Bordeaux. Donc, je l’ai accompagné pendant longtemps sur les terrains avec les anciennes gloire des Girondins et puis j’ai été pendant longtemps prestataire des Girondins et partenaire du club. J’ai le sang marine et blanc“

 

Arnaud De Carli :

 

“Je suis chef d’entreprise dans une société à Cestas et j’ai rejoint Benjamin assez rapidement quand il a eu l’idée du Club Scapulaire. Oui, il m’a appelé et voilà. Je suis passionné de football, passionné des Girondins et on avait à cœur de renouveler un petit peu l’enthousiasme local vis-à-vis du club”

 

Mais alors, le Club Scapulaire c’est qui ? C’est quoi ? C’est combien d’entreprises ?

 

Benjamin Gufflet :

 

“Le Club Scapulaire c’est une idée qui germait depuis longue date. Et avec Arnaud, on se connaît depuis longtemps. On fréquente des clubs d’entreprises. L’idée est sortie de terre le 22 avril, lors de ce communiqué assez fatidique pour les Girondins puisque ça annonçait le retrait de King Street. On s’est dit que c’était peut-être le moment aussi d’aider le club avec nos moyens et beaucoup d’humilité. Il s’avère que je pratique aussi un autre sport de temps en temps qui est le golf. Et j’avais rencontré Bruno Fievet à ce moment-là. Et Bruno portait à ce moment-là de potentiels repreneurs. Il avait un thème qui était très important c’est l’ancrage local. Son programme était bâti autour de ça. J’ai trouvé ça très intéressant. Et ce 22 avril j’ai appelé Bruno et je lui ai dit que s’il voulait un coup de main, j’étais en capacité de pouvoir l’aider avec Arnaud et tous les entrepreneurs qui nous ont rejoint. Il y a des châteaux de vin, il y a de l’agroalimentaire, il y a de l’industrie automobile, il y a des agences immobilières, il y a plein de choses. Il y a des partenaires historique du club aussi, qui nous ont rejoint. Le dénominateur commun c’est le territoire, c’est le sport, c’est les Girondins. On a des entrepreneurs qui sont aussi expatriés au Luxembourg, à Lyon, à Paris, un peu partout et donc ça à catalysé très rapidement. L’idée du nom Club Scapulaire est venu pendant un coup de téléphone avec Bruno. Au début, on voulait appeler ça le Club Lescure mais on s’est dit finalement que le Club Scapulaire est un nom porteur et surtout un nom qui est en plus au niveau d’autres sports Girondins. Mais aussi de permettre d’aider d’autres sports, ce qui est le cas. Très vite après, on a rencontré d’autres candidats à la reprise du club. On les a tous rencontré, on les a écouté. Et puis finalement, il y a eu cette relation avec Gérard Lopez qui s’est mise en place assez rapidement. Et l’histoire a commencé”

“Quand on a fait le premier tour de table, parce qu’à l’origine on devait rentrer au capital, il y avait 52 entreprises qui avaient souscrites. Aujourd’hui, on est dans une autre formule puisqu’on ne s’est pas crée en société mais en association loi 1901. Aujourd’hui, c’est plus d’une centaine d’entreprises qui ont souscrit avec des discussions avec plus de 250 entrepreneurs depuis le début. Donc c’est un travail fastidieux puisqu’on est tous bénévoles. On a heureusement beaucoup de fondateurs qui nous ont rejoint dès le début aussi pour nous aider. Et donc le mouvement progresse. Et on a aussi eu l’idée de faire rentrer non seulement les entreprises, mais un projet de faire rentrer des particuliers, qui sont aujourd’hui des sympathisants qui nous aident et qu’ils n’ont pas forcément les entreprises. Parce qu’il y a un système d’adhésion pour nous rejoindre”

 

Retranscription Girondins4Ever