Dans L’Equipe, un portrait de Florian Brunet a été présenté. Le porte-parole des Ultramarines est notamment revenu sur son altercation à la mi-temps de Bordeaux-Montpellier, tentant d’expliquer son geste et surtout ce qui a fait qu’on en est arrivé là. Les accusations de racisme sont venues après le geste du portier bordelais, sous-entendant que les supporters ont été achetés par la direction, et vraisemblablement les paroles “vous êtes des vendus”.

Contrairement aux jours qui ont suivi sur les réseaux sociaux, Florian Brunet explique qu’effectivement, “ce n’était pas le bon timing mais il n’y a pas de guerre intelligente ». Le responsable du groupe de supporters bordelais a cependant peut-être un regret, un mot, qui lui a échappé lors de son discours à la tribune en seconde période, celui de “facho” à l’encontre de Laurent Koscielny. “Je n’ai pas les éléments pour certifier ça. C’était dans l’exaltation… Mais bien malin celui qui, sur un quart d’heure de discours, n’a pas un mot maladroit. Et sur le fond, il y a bien eu des ‘blagues’ et des comportements d’un autre temps… ».

Une enquête interne a été diligentée par le club, selon les Ultramarines. En attendant, le groupe sera présent à Lille ce samedi soir, afin de jouer son rôle en cette fin de saison. Même si les Ultras ont sous-entendu que pour les encouragements, il faudra que les joueurs les méritent…

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