Les principales déclarations de Josuha Guilavogui en conf’ de presse avant Bordeaux-Nice
Ce dimanche, les Girondins de Bordeaux recevront l’OGC Nice, pour le compte de la 35ème journée de Ligue 1. Après David Guion, nous vous proposons les principales déclarations du capitaine bordelais, Josuha Guilavogui, qui vient de passer en conférence de presse.
« C’est difficile de trouver les bons mots, mais l va falloir qu’on s’appuie sur ce qu’on a fait de bien face à Saint-Etienne et Nantes, et il va falloir apprendre à gérer le score »
« On se doit de prendre cette victoire à domicile. Oui, c’est un match à la vie, à la mort, on peut le voir comme ça »
« Même si ça ne plaira pas au coach, je pense que la défaite contre Nantes est due à mon erreur de relance. Je sais à ce moment-là ce que ça fait de prendre un but si tôt au retour des vestiaire. Je m’en suis extrêmement voulu »
« Au vu de mon expérience, je dois être capable de gérer ce moment-là, mais après j’ai sombré »
« Garder le score est une problématique nouvelle, alors qu’avant on n’arrivait pas à marquer. On travaille avec le coach, on fait beaucoup de réunions »
« On essaye de trouver les mots et on a la même vision pour la plupart des joueurs. Il faut qu’on fasse preuve de beaucoup plus de courage »
« On est plus que jamais dos au mur »
« Je suis vraiment désolé, ça ne se traduit pas au nombre de points, mais il y a beaucoup de choses qui se sont améliorées. Malheureusement, dans ce contexte… Il y a ce traumatisme, ce vécu, qui fait qu’on pense plus à perdre le match, alors qu’on est en train de le gagner »
« Bien sûr qu’on croit au maintien. On se doit d’y croire. On ne peut pas se permettre de dire que c’est fini »
« Il va falloir un grand match. On va jouer sur nos points forts »
« Si c’est la période la plus éprouvante de ma carrière ? On peut voir la détresse de nos supporters, mais nous sommes les premiers malheureux, parce que ce sont des scénarios tragiques face à Saint-Etienne et Nantes. J’ai vu un lundi catastrophique pour ma part, mais il faut l’accepter. On se doit d’y croire jusqu’à la fin »