Sur France Bleu Gironde, Saïd Ennjimi, Président de la Ligue de Football de Nouvelle-Aquitaine, s’est exprimé sur son idée d’avoir des gens issus du football pour définir les ligne stratégiques du football au sein de la Ligue.

 

“Idéalement c’est ce que je souhaite à un moment ou un autre, évoquer avec le club des Girondins de Bordeaux. Ce maillage du territoire de façon à ce que des regards avérés comme celui de François Grenet ou même d’Alain Giresse aussi qu’on a reçu. Même s’il est très courtisé, il viendra peut-être un jour lorsqu’il aura plus de temps à nous consacrer pour que l’on ne rate pas justement ces jeunes et pouvoir faire le lien avec le club des Girondins de Bordeaux. En fait je prépare les choses en attendant et en ayant l’espoir qu’on puisse se rapprocher de notre club phare mais n’oublions pas non plus Niort et Pau qui sont là aussi et qui vont de toute façon à un moment ou à un autre, conventionner également avec nous. C’est ce que j’espère.”

 

Quand on est arbitre est-ce que ça peut influer d’arbitrer une institution ?

 

“On est que des hommes, c’est-à-dire que par définition on est toujours influençables. La formation des arbitres de haut niveau fait que cette part d’influence est très faible mais c’est vrai que lorsque vous arbitrez des institutions très fortes, c’est un peu plus facile entre guillemets, pour les clubs avec des institutions puissantes, d’être arbitrés de la meilleure manière possible plutôt que lorsque vous êtes en difficulté. Cela se ressent aussi sur le comportement des joueurs sur le terrain. L’énervement, l’agacement, il y a tout un tas de choses qui font que plus le club est serein, plus l’institution est forte et plus effectivement il y a des petits détails qui font que l’arbitrage pèse peut-être moins sur ces clubs là que sur ceux qui sont en difficulté comme l’ont été nos Girondins de Bordeaux pendant cette saison particulièrement.”

 

Retranscription Girondins4Ever