Dans le live de Julien Bée, et en pleine manifestation, aux abords de la place de la Victoire, Florian Brunet assura qu’il croyait toujours à ce que le sort des Girondins de Bordeaux, dicté par la DNCG, se renverse et déjoue les pronostics.

« Bien sûr qu’on y croit, on y croit jusqu’au bout. Quoi qu’il arrive, cette marche n’est pas pour rien, même si malheur arrive. On démontre qu’il y a une véritable force pour reconstruire. Mais on n’en est pas là, il reste des recours, et il faut les utiliser au maximum. On sait que l’engouement, l’intervention des politiques, est quelque chose de très important. Le football c’est le cœur de la cité, et les Girondins de Bordeaux sont au cœur de la cité : c’est le boulot premier des politiques quand ça touche le cœur des gens. Et les Girondins de Bordeaux, ça touche le cœur des gens. C’est le boulot des politiques de défendre ça. Nous, les dizaines de millions, etc, ça nous dépasse… On pense simplement aux jeunes du centre de formation, à tous les salariés, à tous les passionnés qu’on a vus lors de cette manifestation, à tous ces gamins qui passent du temps pour faire des tifos, qui se sacrifient pour faire des déplacements. Nous, on ne pense qu’à ces gens-là, et ils ne méritent pas de se retrouver en National 3. Les grands clubs de meurent jamais ».