Christophe Monzie : « Peut-être que je suis un vieux has been, mais on m’a toujours dit que ce qui se faisait dans la précipitation, c’était rarement du bon travail »

    (Photo by Hugo Pfeiffer/Icon Sport)

    Sur ARLChristophe Monzie s’est de nouveau exprimé sur l’attaquant des Girondins de Bordeaux, Alberth Elis, qui était annoncé partant au début du mercato, mais qui est toujours en Gironde.

    « Je me suis exprimé déjà sur le sujet. Il y a effectivement un impératif de vendre, je suis d’accord, on ne peut pas rester avec quatre joueurs sur le flan… Mais il y a aussi quand même une équipe à construire. Il n’y a pas simplement à remettre une balance économique à l’étale. Ou alors on dit tout de suite qu’on joue le maintien… Si on se sépare de lui aussi… ».

    Pour le journaliste, le temps presse désormais, notamment vis-à-vis de la première défaite bordelaise, quant au recrutement.

    « Les grandes manœuvres sont lancées, et il ne faudra pas se tromper. Si les joueurs ne sont pas qualifiés d’ici mardi soir, cela va vraiment sentir le suif. Si la situation n’a pas bougé mardi, là il faudra s’inquiéter. Je sais bien qu’on fait des miracles, de la magie, de la prestidigitation dans les dernières heures, mais… Peut-être que je suis un vieux has been, mais on m’a toujours dit que ce qui se faisait dans la précipitation, c’était rarement du bon travail. Et la vie s’est chargée de me le confirmer ».

    Retranscription Girondins4Ever

    Image