Sur ARL, Gaëtan Poussin a évoqué son coéquipier aux Girondins de Bordeaux, Fransérgio, buteur pour la première fois face à Metz samedi dernier (2-0).

« Il est sur un niveau bien plus élevé, il nous montre toutes ses qualités. J’en ai un peu des frissons au sujet de ses larmes. Je ne dirais pas que j’ai vécu un peu la même situation que lui, mais j’ai été beaucoup critiqué l’année dernière, lui aussi. Peut-être que des fois c’était à juste titre, mais parfois non. Je peux comprendre qu’il ait les larmes. Quand tu te bats, quand tu travailles comme il peut travailler, comme moi j’ai travaillé pour revenir, je peux comprendre ses larmes… Aujourd’hui, quand on marque un but pour son club, alors qu’il n’avait toujours pas marqué, c’est normal qu’il ait de l’émotion. Je lui tire mon chapeau parce que ce n’est jamais facile de repartir après une saison comme ça ».

Yoann Barbet a confirmé de son côté qu’il était parfaitement intégré au groupe bordelais.

« Il communique beaucoup avec ses mots, de temps en temps en anglais, mais on arrive à le comprendre. Il est vraiment au cœur du projet, et il n’est pas du tout effacé, au contraire. Il sait que c’est un des plus vieux de l’équipe, il sait qu’il a de l’expérience aussi. Il essaye de la transmettre aux jeunes. Comme je vous dis, il n’y en a pas beaucoup qui s’en rendent compte, mais son travail sans ballon est très important pour l’équipe ».

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