Henri Saivet n’aurait pas célébré son but s’il avait marqué lors de Bordeaux-Pau
Sur France Bleu Gironde, et avant Bordeaux-Pau, Henri Saivet a été questionné sur son coach, Didier Tholot.
« C’est un coach qui est assez proche des joueurs quand même. Il est toujours dans la communication, et ce que j’aime bien avec ce coach c’est qu’il y a beaucoup de transparence. Même ceux qui ne jouent pas savent pourquoi ils ne jouent pas. Parfois, c’est aussi ponctuel, il y a aussi des états de forme. Ce que j’aime bien avec cet entraineur c’est que tout est clair depuis le début avec tout le monde. On sait pourquoi on est là, on sait exactement ce qu’il attend de nous. Il est vraiment dans la communication. C’est quelqu’un qui est amateur du beau jeu, mais aussi un coach qui veut vraiment une assise défensive assez forte pour pouvoir jouer. De nos jours, pour bien attaquer, il faut forcément bien défendre. Il met l’accent sur ça. En plus de ça, je trouve qu’humainement il est au top. Tout ce qu’il nous dit depuis le début, il le fait. Il a dit que tout le monde aurait sa chance, et tout le monde l’a eue. Ce que j’aime bien, c’est que c’est honnête. On travaille bien ensemble, il y a beaucoup de transparence entre lui et les joueurs ».
Face aux Girondins de Bordeaux, son club de cœur, est-ce qu’il aurait célébré son but s’il avait marqué ?
« Sincèrement, je ne pense pas le célébrer… Franchement, les Girondins m’ont vraiment tout donné, et je ne me verrais absolument pas le célébrer, encore moins le jour de l’anniversaire des Ultras. Ce serait vraiment un manque de respect. Si jamais j’arrive à marquer, je ne pourrais pas le célébrer, par amour des Girondins ».
Retranscription Girondins4Ever
